C’est l’héritage de la tradition artisanale africaine, transmise par les descendants d’esclaves et les Indiens « Xerentes ». Cet art a été officialisé vers les années 1930, lorsque des familles de Povoado da Mumbuca ont appris à certaines familles d’un village comment préparer les tiges et en faire des paniers, des chapeaux et des bijoux dans la région de Jalapão.
Les artisans recourent ainsi, à plusieurs techniques pour concevoir et réaliser des pièces uniques exigeant patience et orfèvrerie. Les tiges de l’herbe dorée sont ainsi tissées, cerclées, tressées ou encore cousus avec de la soie de buriti au gré des produits et de l’effet désiré, permettant de transformer une matière naturelle en une pièce rare et raffinée.
La confection de nos bijoux s’inscrit dans une politique de développement durable afin de préserver tant ces ressources rares que les populations locales qui en dépendent.